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Après l’album DROPKICK MURPHYS annonce deux Zénith à Paris + un autre à Nantes ! En couverture de MyRock & Rolling Stone !

Après l’album DROPKICK MURPHYS annonce deux Zénith à Paris + un autre à Nantes !

Paris

Nantes

Nouvel Album « Turn Up That Dial » actuellement dispo sur Born & Bred Records (distribution PIAS)
Un 10ème album studio produit par Ted Hutt

Regardez le clip de « Middle Finger »

« Et si l’on tenait-là le véritable premier album post-pandémie ?
fait mieux que se montrer communicatif et/ou contagieux… » – Rolling Stone

« Dropkick Murphys nous vaccinent de la morosité ambiante
avec une énergie festive et positive » – MyRock

« Pour ce 10ème album les Bostoniens ont fait ce qu’ils savent faire de mieux :
Du Dropkick Murphys… le résultat est forcément tonitruant… » 
– Rock & Folk

« Une bouffée d’air frais, une pilule de joie de vivre… une déclaration
d’amour à la musique et au public… « 
 – Rock Hard

« L’aspect résolument festif de Turn Up That Dial ne doit pas être assimilé à la présumée gratuité de sa musique… 
[il] Nous fait revivre des temps plus heureux où le vivre-ensemble indispensable s’exprimait peu importe sa forme… » – Radio Metal

CE MOIS-CI RETROUVEZ DKM EN COUVERTURE DE

A travers ces 11 nouveaux titres Dropkick Murphys célèbre le simple 
plaisir de jouer de la musique, pour balayer nos ennuis, nous soulager 
et tenter ainsi de nous libérer de ce sentiment d’inquiétude qui semble 
irrémédiablement rythmer nos journées depuis près d’un an…
« Le thème général de ce disque est l’importance de la musique dans nos vies, 
et des groupes qui ont fait de nous ce que nous sommes », explique Ken Casey
fondateur et co-chanteur de DKM. 

« Nous espérons juste que cet album va permettre aux gens de s’évader. 
Nous sommes tellement chanceux et reconnaissants 
d’être en mesure de pouvoir partager un peu de bonheur avec eux.
Il n’y a pas de mots pour exprimer notre gratitude. 
Il y a 25 ans, un mec m’a parié 30 dollars que je ne pouvais pas former 
un groupe en trois semaines pour assurer sa première partie. 
Enfant, nous n’étions jamais sortis de La Nouvelle-Angleterre et nous y voilà,
nous avons enregistré dix disques et fait le tour du monde grâce à nos chansons. 
Notre message est donc très clair : lève ton poing et joue la musique à fond ! ».

Dans cette ambiance de pubs punk celtique qui lui est chère, Dropkick Murphys 
nous offre une nouvelle série d’hymnes, à commencer par la chanson-titre. 
« Turn Up That Dial » met les choses à nu dès son premier couplet : 

« You’re my inspiration, you got something to say, 
Now turn up that dial ‘til it takes me away. » 

Il est alors facile d’imaginer les membres de DKM encore adolescents 
en train de se repasser The Clash sur leur Walkman ou leur ghetto blaster, 
convaincus que leurs formations préférées les défendaient mieux que quiconque 
face à ce monde hostile. Cet album est alimenté par ce type de groupes 
qui, à travers des refrains déchaînés, savaient capter l’énergie de la rue 
et distiller les complexités de la vie de ces kids de Boston.
Au cours des deux dernières années, suite à une intervention chirurgicale, 
Ken a dû renoncer à jouer de la basse et a dû laisser ce job
à son ami de longue date, le technicien Kevin Rheault. 

Ainsi libéré du poids de son instrument, il peut désormais rejoindre son pote Al Barr 
sur le devant de la scène. Ceci a créé une nouvelle dynamique très puissante 
et enflammée entre les deux chanteurs.
Après plusieurs centaines de concerts, leur complicité ne laissait aucun doute,
mais en studio, pour ce nouvel album, 
ce fameux duo vocal explose littéralement les haut-parleurs !
Avec le volume poussé au maximum, on les sent redresser la tête, afficher 
de larges sourires, et porter leurs regards conquérants le plus loin possible. 
Fidèle à son état d’esprit initial, Dropkick Murphys sonne la charge. 
Tel un pack indestructible, le groupe interprète chaque titre 
de « Turn Up That Dial » avec la détermination et l’exubérance qui ont forgé 
sa réputation scénique, et on ne va pas s’en plaindre, bien au contraire !

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